Selon une étude récente réalisée par Experian :
- 12 % des paiements électroniques effectués par et à destination des entreprises en euros comportent actuellement des données erronées.
- Si les entreprises n’enregistrent pas actuellement un taux d’échec de 12 % de leurs paiements, mais seulement un taux de 2 % maximum sur leurs prélèvements, c'est que les banques corrigent, quant elles le peuvent, les données erronées.
- Les erreurs viennent principalement des domiciliations bancaires des clients.
- La migration SEPA limitera la possibilité de ces corrections 'à la volée'
- Il est primordial que les entreprises prennent la mesure des problématiques qui se posent à elles en cas de non correction des erreurs de leurs bases de données avant le passage au SEPA. Une simple migration n’aura pour effet que de perpétuer ces erreurs, engendrant un taux d’échec potentiel de 12 % des paiements.
- En revanche, si les données sont dûment validées avant leur migration vers le SEPA, la diminution du taux d’erreur de la nouvelle base de données permettra à l’entreprise de tirer profit du SEPA plutôt que d’en subir le seul coût.
- L’échec des paiements imputables à ces erreurs dans le cadre du SEPA induira des coûts supplémentaires (la facture totale est estimée à plus 20 milliards d’euros par an). Les entreprises en sont-elles conscientes, et y sont-elles préparées ?
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Bonjour,
Merci pour votre contribution.
Elle sera prochainement publiée, si elle est conforme aux règles du site.
Cordialement,